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Sarkozy s'assume en omniprésident......
Chirac, élu «roi fainéant».
Après avoir justifié son plan de relance et encouragé les parlementaires à travailler «dur» en 2009, Sarkozy se montre plus mordant que jamais. Comme l'an passé, il n'épargne pas son prédécesseur, Jacques Chirac. Il préfère être un «omniprésident plutôt qu'un roi fainéant. Comme on en a connu !». Voilà Chirac habillé pour l'hiver. Mais une fois n'est pas coutume,
Devant les parlementaires, il s'engage à prendre des décisions» entre l'été et l'automne sur la réforme territoriale confiée à Édouard Balladur. Mais il ne dit pas un mot sur le travail du dimanche. La réforme du jour, c'est celle de l'instruction, que, dans l'après-midi, il lance en grande pompe à la Cour de cassation.
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La Nouvelle Méthode du PS
Sarkozy dénonce
«la flibusterie» des élus PS
Conseillers de Paris, députés et sénateurs se sont rendus mardi à l'Élysée pour recevoir les vœux du président de la République. Crédits photo : AFP
A l'occasion des voeux aux parlementaires, le chef de l'Etat a invité députés et sénateurs à «continuer à travailler très dur» malgré leur surcharge de travail et les «brouettes» d'amendements déposés par l'opposition.
Travailler plus, travailler mieux : tel est, en résumé, le message du président de la République aux parlementaires en ce début d'année. Gouvernement et Parlement doivent «continuer à travailler, et à travailler très dur», parce que «nous sommes à un moment de l'histoire où il faut réformer le pays», a-t-il expliqué.
«Quel parlementaire pourrait se plaindre d'avoir trop de travail dans la situation actuelle de notre pays ?», a-t-il encore fait valoir, volontiers provocateur, alors que les parlementaires sont submergés de textes. «Je sais combien vous êtes accaparés, je sais surtout quelle est l'immense attente de nos concitoyens», a-t-il tranché devant un peu plus de cinq cents députés et sénateurs UMP et le Conseil de Paris emmené par le maire de Paris, Bertrand Delanoë notamment. Fait rarissime, les députés européens du Front national étaient présents. On a ainsi pu voir Jean-Marie Le Pen et sa fille, Marine, s'ébattre parmi leurs pairs.
«Amendements à la brouette»
Dans son discours, le chef de l'État n'a cité aucune des réformes importantes en cours d'examen au Parlement, en particulier celle du travail du dimanche, dont l'examen a été reporté sine die. Mais à ceux qui regimbent et se plaignent du surcroît de travail, Nicolas Sarkozy a tenu à rappeler qu'il montrait l'exemple : «À force d'écrire que j'en fais trop, au moins on ne se pose pas la question de savoir ce que je fais. C'est arrivé dans l'histoire de notre pays que l'on se dise : “Mais qu'est ce qu'il fait donc, là-haut ?”», a-t-il ironisé, dans une allusion implicite à son prédécesseur Jacques Chirac.
Il s'est aussi longuement adressé aux socialistes, en brocardant la «flibusterie», qui permet aux parlementaires de l'opposition de faire durer l'examen d'un texte en «déposant des amendements à la brouette». «Est-ce que le renforcement des droits du Parlement que nous avons souhaité collectivement peut se résumer à passer toujours plus de temps en séance publique, à examiner des amendements purement, strictement, littéralement répétitifs ?», s'est-il interrogé. «J'ai la conviction qu'on respecte le mieux un groupe parlementaire en discutant avec lui sur ces amendements les plus importants, en recherchant un accord si c'est possible.»
Bien déterminé à rationaliser le travail parlementaire quoi qu'il arrive, il souhaite malgré tout que la réforme du Parlement soit «consensuelle». Il l'a dit lors du Conseil des ministres : «Prenez l'obstruction parlementaire (s ur la limitation des amendements, NDLR) avec beaucoup de sérénité et de tranquillité, laissez-les s'exalter», a-t-il dit.
Car à l'Élysée, on prévient déjà que si l'opposition veut aller au combat, la majorité ne tombera pas dans le piège du 49-3 :
«On ne leur fera pas ce plaisir», glisse-t-on.
En attendant, Nicolas Sarkozy leur a rappelé qu'il avait lui aussi trimardé sur les bancs de l'Assemblée nationale. «J'ai été parlementaire pendant vingt ans, a-t-il dit. Je sais que vous n'avez pas vraiment les moyens de faire le travail sérieusement. C'est ce qu'il faut changer.»
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LES SOCIALOS ONT LA MEMOIRE SELECTIVE....
Logements vacants : la mairie répond
Polémique. Marie-Christine Lafforgue dénonçait l'inertie municipale.
Françoise de Veyrinas, premier adjoint au maire de Toulouse chargée des affaires sociales, et Michèle Claux, adjoint au maire aux opérations programmées d'amélioration de l'habitat, répondent au « coup de gueule » de Marie-Christine Lafforgue (lire « La Dépêche » du 13 décembre). La conseillère générale PS dénonçait l'inertie de la mairie en matière de logements alors que plus de 22 000 seraient laissés vacants. Elle suggérait le recours à l'emprunt pour les reconquérir. « Marie-Christine Lafforge veut que la mairie de Toulouse s'endette, et par là même endette les Toulousains. L'emprunt mettrait par magie tous les logements vacants de Toulouse sur le marché de la vente ou de la location ! Nous soulignons l'inconséquence de cette proposition qui coûterait très cher à la collectivité (l'élue socialiste s'est d'ailleurs abstenue de dire combien il fallait emprunter), mais aussi aux Toulousains en entraînant la hausse des prix de l'immobilier. De son côté, Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, a opté pour une solution plus réaliste et concrète : il a envoyé aux propriétaires de logements qui sont vacants depuis plus de deux ans, un courrier pour les sensibiliser à la tension sur le marché de l'immobilier que connaît Toulouse, au même titre que les autres villes de France, et les inciter à remettre ces logements sur le marché, par exemple en leur proposant des aides à la réhabilitation. De plus, depuis de nombreuses années, la mairie a mis en place un dispositif d'opération programmée d'amélioration de l'habitat pour permettre aux propriétaires de réhabiliter leur logement (mise aux normes d'hygiène et de sécurité) en leur apportant des aides ».
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Bravo La Mairie de TOULOUSE
Bonne Nouvelle, Il y a même le chauffage dans l'immeuble squatter.... mais qui va payer tout cela, sans compter qu'il y a fort à parier que les services publics concernés n'étaient même pas informés que des usagers illicites étaient connectés à leur réseau...
signale Martine CROQUETTE, Adjointe, chargée du Logement...
Pour mémoire il y a 28 squatteurs dans cet immeuble....
et les associations DAL, La Hutte aux Piafs envisagent de pouvoir héberger les SDF de passage à Toulouse... comme s'ils passaient à Toulouse par hasard....
Ils envisagent même de créer dans les lieux un Projet Culturel, avec salle de spectacle, ateliers de création graphique, musique, fabrication d'instruments de musique.... De qui se moque t'on....
C'est avec vos IMPÔTS que tout ceci va être financé....
C'est la crise mais pas pour tous....
En ces temps troubles, il est important de se rappeler de la première mesure décidée par le Seigneur COHEN.
Il a augmenter de 30 % l'indemnité de fonction pour chaque adjoint au maire....
Ce qu'il faut savoir c'est qu'il y a 26 adjoints au maire de Toulouse.... Faites le calcul.....
Cohen..... tu es un sacré déconneur.....
Monsieur Propre
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pas avec vos impôts, si on monte une asso c'est pas pour rien, on veux travailler en auto financement.