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Commentaires sur Les bons et mauvais côtés de la Politique à TOULOUSE, et en Général ...

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royalemensonges a déjà publié cet article édifiant......

  Une fillette de 6 ans privée de cantine

Son inscription à la cantine de Cesson n’ayant pas été enregistrée, une fillette de 6 ans a dû passer jeudi la pause déjeuner dans la cour, dans le froid et privée de repas.

Marine Legrand | 10.01.2009, 07h00
 

Un biberon de lait et un petit gâteau. C’est tout ce qu’aura avalé jeudi la petite Maureen, 6 ans, dans son école de Cesson. La fillette a été privée de cantine au groupe scolaire Jules-Verne, dans le quartier de la Plaine-du-Moulin-à-Vent, après l’erreur d’un agent municipal. Elle a été renvoyée dans la cour, en plein froid, durant la pause déjeuner.

Hier, l’agent a été suspendu pour trois jours à compter de lundi et une procédure disciplinaire est enclenchée. « Quand ma fille s’est présentée à la cantine à 11 h 30, l’agent lui a dit qu’elle n’était pas inscrite et lui a demandé d’aller jouer dehors en attendant que les autres mangent. Elle est restée dans la cour toute seule par - 4° o C », s’insurge son père.

« La première chose qu’elle m’a dite, c’est : J’ai faim »

« Lorsqu’elle est revenue en classe à 13 h 30, elle a confié à la maîtresse qu’elle n’avait pas mangé. On lui a dit qu’il ne restait plus de nourriture. L’enseignante aurait au moins pu m’appeler ! J’habite à 50 m de l’école, je lui aurais apporté un repas ! » tempête sa mère.
Celle-ci a retrouvé sa fille vers 16 h 30 : « La première chose qu’elle m’a dite, c’est : J’ai faim. Elle tremblait de froid. C’est un poids plume. Heureusement qu’elle n’a pas fait de malaise… » La mairie reconnaît « une erreur matérielle et humaine » du côté de la municipalité : « L’inscription a bien été prise en compte au téléphone, deux jours avant. Mais l’information n’a visiblement pas été transmise correctement », décrypte Lylian Sénéchal, adjointe au maire chargée de la petite enfance, qui s’est confondue en excuses jeudi soir auprès de la famille pour le comportement de l’agent.
« L’employé de la cantine a peut-être cru que la fillette s’était trompée, que sa mère allait arriver et qu’elle avait du retard à cause du verglas. Nous cherchons à savoir ce qui s’est passé précisément. » L’agent en question a été entendu hier par le maire, Jean-Marc Brûlé (vert), et son adjoint. Des sanctions ont été prises dans la foulée. Les parents de Maureen aussi ont décidé de ne pas en rester là. « Nous allons prévenir l’inspection d’académie », assure son père, qui a d’abord envisagé de déposer plainte auprès de la police. « Ce genre de comportement est inadmissible. Il ne faut pas que ça se reproduise ailleurs, avec d’autres enfants. »

Le Parisien

 

Du temps des socialos.... il faisaient quoi ces donneurs de leçons....

 
 

On pourrait presque croire qu'il y a un phénomène nouveau.... des SDF dans la rue....

MAL-LOGEMENT

Cette fois le DAL est allé jusqu'à Matignon

11.01.2009, 19h48 | Mise à jour : 19h56

ntre 200 personnes, selon la police, et 600, selon les organisateurs, ont manifesté dimanche à Paris jusqu'aux abords de l'Hôtel Matignon en faveur des sans-logis, à l'appel de l'association Droit au logement (Dal).

Le cortège était parti de Jussieu avec l'intention de se rendre jusqu'à la résidence du Premier ministre François Fillon par lequel les «sans-logis» espèraient être reçus, après trois tentatives infructueuses dans les semaines précédentes.

Dimanche dernier, un cortège de mères de famille avait été bloqué sur le Pont des Arts par les forces de l'ordre, et la confrontation avait donné lieu à quelques bousculades et blessures.

Cette fois les familles de la rue de la Banque, installées pour l'hiver dans un gymnase, ont pu rester rive gauche. Elle n'ont toutefois pas été reçues. «On a pris contact avec Matignon par téléphone, mais ils ne veulent pas nous recevoir pour l'instant», a déclaré le président du Dal, Jean-Baptiste Eyraud, au terme de la manifestation, qui s'est arrêtée à quelques encablures de l'Hôtel Matignon, après deux heures de marche dans les rues de Paris.

Les manifestants ont déployé tout au long du parcours des banderoles appelant à «des logements, pas des amendes», «jamais sans toit», ou encore «374 familles, rue de la Banque, la lutte continue» en référence à l'immeuble occupé par le Dal dans le IIe arrondissement de la capitale. «Nous exigeons que le gouvernement prenne des mesures exceptionnelles qui s'imposent», afin de «tenir tous les engagements pour satisfaire les obligations de relogement des familles» dans le cadre du droit au logement opposable (Dalo), a dit M. Eyraud.

Les manifestants ont pris pour cible la ministre du Logement Christine Boutin «incapable de reloger les 374 familles alors que depuis qu'elle est arrivée au gouvernement elle n'a pratiquement rien fait», a poursuivi Jean-Yves Cottin, porte-parole du Comité des Sans-Logis. Christine Boutin répond, elle, que son cabinet a reçu depuis l'été 144 dossiers et que 141 offres de logement ont été faites.

Le cortège s'est dispersé dans le calme à la station de métro Sèvres-Babylone, en appelant à une nouvelle mobilisation dimanche prochain, au départ de l'esplanade de Beaubourg.

leparisien.fr

 

Jean Sarkozy dément entrer à la direction de l’UMP

Politiques 10 janv. 10h22

Jean Sarkozy dément entrer à la direction de l’UMP

Selon Jean Sarkozy, son père, Nicolas Sarkozy, ne lui a «absolument pas» proposé ce poste, contrairement à ce qu’a affirmé hier le site des Echos.

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Jean Sarkozy, en février 2008.

Jean Sarkozy, en février 2008. (REUTERS)

Jean Sarkozy, conseiller général de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), affirme qu'«il n'a jamais été question» pour lui de devenir secrétaire général adjoint de l'UMP, vendredi soir dans une interview au Figaro.fr.

Le site internet des Echos avait affirmé, également vendredi, que le Président Nicolas Sarkozy avait proposé à son fils cadet le poste de secrétaire général adjoint du parti majoritaire, en remplacement de Xavier Bertrand, qui va devenir secrétaire général.

Selon Jean Sarkozy, son père ne lui a «absolument pas» proposé ce poste. «Le président de la République ne m'a jamais posé la question. Il n'en a même jamais été question entre nous», dit-il.

«Pour moi, ce n'est pas la question. Je m'applique aujourd'hui à construire mon parcours autour de la légitimité électorale. Et c'est ce qui m'importe», affirme-t-il.

«Je suis conseiller général parce que les Neuilléens m'ont fait confiance et m'ont élu. Je suis délégué UMP de la 6ème circonscription des Hauts-de-Seine parce que les adhérents m'ont fait confiance et m'ont élu. Enfin, je suis président du groupe de la majorité départementale au conseil général parce que mes collègues me font confiance et m'ont élu», ajoute-t-il.

«Mais dans le même temps», ajoute-t-il également, «c'est vrai que lorsque l'on porte des convictions fortes et que celles-ci s'incarnent dans une formation politique, on a le devoir, pour être cohérent, d'apporter sa pierre à l'édifice commun, de s'engager et de servir».

Hier, un responsable de l’UMP affirmait à Libération: «Que Jean fasse partie de l’UMP, oui. Mais je le connais, il est plutôt dans la logique de ne pas brûler les étapes».

(Source AFP)

 

Duel à l'UMP en vue de l'investiture pour les régionales en Ile de France

Roger Karoutchi, candidat à l'investiture UMP pour les élections régionales en Ile-de-France, a annoncé, vendredi 9 janvier, qu'il allait saisir la commission des sondages à propos d'une étude de l'institut Opinionway, publiée par Le Figaro, le donnant largement distancé par sa rivale, Valérie Pécresse.

A la question : "Qui préférez-vous comme candidat de l'UMP aux élections régionales de 2010 en Ile-de-France ?", l'enquête donne 57 % pour Mme Pécresse et 28 % à M. Karoutchi parmi les "sympathisants" UMP, et 46 % pour la ministre de l'enseignement supérieur et 26 % pour le secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement parmi "l'ensemble des Franciliens". Dans un communiqué annonçant son intention de saisir la commission des sondages, M. Karoutchi met en doute les conditions de réalisation de l'enquête.

"ON VEUT FAIRE JOUJOU AVEC MOI"

Selon la fiche technique l'accompagnant, l'enquête a été réalisée les 7 et 8 janvier auprès d'un échantillon de mille six personnes, représentatif de la population francilienne âgée de 18 ans et plus. Mais M. Karoutchi assure que dès "le mardi 6 janvier au matin [circulaient] sur les bancs des députés UMP les résultats de ce sondage non encore réalisé". Il ajoute que "le mercredi 17 décembre, dans l'hémicycle, le député socialiste Julien Dray [lui a annoncé] la publication d'un tel sondage début janvier avec les résultats exacts". "L'enquête a bien été réalisée les 7 et 8. Le 6, il n'y avait aucun résultat, comme aucune question n'avait été posée", a déclaré à Bruno Jeanbart, directeur des études politiques et d'opinion de l'institut de sondages. Si la commission est saisie, "nous avons des obligations et on les remplira, nous n'avons aucun souci".

La campagne pour la primaire UMP en Ile-de-France avait débuté sur un ton assez acrimonieux entre M. Karoutchi, chef de file de l'opposition au conseil régional et candidat déclaré depuis longtemps, et Mme Pécresse, qui avait annoncé, fin août, sa candidature. L'atmosphère s'était depuis calmée. "J'irai jusqu'au bout. On veut faire joujou avec moi, eh bien moi je vais faire joujou", a déclaré vendredi M. Karoutchi. Il avait annoncé le 23 décembre qu'il faisait officiellement "acte de candidature aux primaires internes à l'UMP". Mme Pécresse a de son côté déposé, vendredi après-midi auprès de la commission électorale du parti, les bulletins de parrainage requis pour être candidate à la primaire.

 

Arrêter de parler d'elle.... Pendant ce temps personne ne parle de moi.....

  • Ségolène Royal : «qu'on laisse tranquille Rachida Dati !»

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    (Rémy de la Mauvinière / AFP)
    (Rémy de la Mauvinière / AFP)

    L'ex-candidate à l'Elysée résume le retour au travail de la ministre de la Justice cinq jours seulement après son accouchement par une formule : «à fonction exceptionnelle, comportement exceptionnel».

    Ségolène Royal et Rachida Dati, même combat. La présidente socialiste de Poitou-Charentes, première femme ministre en exercice à accoucher en 1992, n'hésite pas un seul instant à défendre l'actuelle ministre de la Justice. «Qu'on laisse donc tranquille Rachida Dati ! Cet acharnement contre elle est indécent et injuste», affirme clairement l'ex-candidate à la présidentielle dans une interview au Journal du dimanche.

    Ségolène Royal explique le retour au ministère de la Justice de Rachida Dati cinq jours seulement après son accouchement par la formule «à fonction exceptionnelle, comportement exceptionnel». «Se remettre debout cinq jours seulement après avoir subi une césarienne, c'est trop rapide, sans doute», nuance-t-elle toutefois.

    «Sarkozy a gommé Dati de l'espace politique»

    Avant d'adresser une pique à Nicolas Sarkozy : «quel choix a-t-on lorsqu'on est Garde des Sceaux et que le président de la République décide d'annoncer une importante réforme de la Justice un mercredi alors qu'on a accouché le vendredi précédent», lâche-t-elle, tout en assurant qu'elle «milite» toujours pour un allongement du congé maternité.

    «Pourquoi Nicolas Sarkozy n'a-t-il pas laissé à sa ministre le soin d'annoncer la suppression des juges d'instruction ? Où était l'urgence ? Le faire ainsi, à sa place, relève de la provocation. C'est une façon de la gommer de l'espace politique», assène encore Ségolène Royal qui «comprend que Rachida Dati se soit sentie obligée d'être présente aux côtés du chef de l'Etat lors de la rentrée solennelle de la Cour de Cassation».

    L'ancienne ministre de la Famille ose même en «plaisanter» : «je conseillerais au père de l'enfant de prendre un congé paternité, ce Royal cadeau que j'ai fait à tous les pères lorsque j'étais ministre de la famille».                       Et en plus elle fait la jalouse.....

Monsieur Propre

 

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